Tout est dispo à l'adresse du label:

(Lean On Me! BP 91, 79102 Thouars Cedex)

 

 

No Time To Lose / Les Partisans / ASPO / Orange Street / Youngang

 

- Youngang " Canzoni Ribelli " -

CD 12 titres

Dispo début février 2004

(coproduction d'une pelletée de gros et petits labels européens dont Maloka et Solitude Urbaine, pour la France)

8,5 Euros p. c.

 

 

- No Time To Lose " Join the party " -

CD 11 titres / 34 mn

dispo contre 7,5 Euros p.c.

 

Ils en ont dit:

‘’Malgré la dénomination de ‘’free-edge hardcore de cet album (sorti il y a déjà un an), c’est très écoutable pour ceux qui comme moi sont plus branchés punk-rock. Les textes, en anglais, sont très tournés vers l’actualité, la lutte contre la mondialisation, le sort des femmes afghanes, le DIY, avec une petite explication pour chaque texte dans le livret. L’ensemble peut faire penser à du MINOR THREAT, mais avec un son plus actuel. Un des groupes HC qui me semble le plus abordable musicalement, et de surcroît avec des textes sincères et justes. Arno NO GOVERNMENT n°47 (avril 2003)

 ‘’Enfin !!! on nous avait dit écoutez ce truc ça déchire !!! Et c'est vrai que les petits de No Time To Lose déboîte bien la mâchoire. "Join the Party" est composé de 11 titres de purs old school NYHC, ça speed, ça hurle, ça break, ça fight !!! Pour vous en dire un peu plus c'est très proche d'un Reach The Sky (Version So Far…) notamment par le timbre de voix et le phrasé proche du old punk. Question zic, c'est en plus teinté de mélodies sympathiques et variées dans la veine des straight edge de Bane, que du bon quoi !!! Leur grande force contrairement aux autres groupes du genre c'est que pour une fois on a pas l'impression d'entendre tout le temps la même chanson (encore un point commun avec Bane). Alternant les passages mid tempo avec des speed tempo et les big break, on ne s'ennuie pas une seconde. No time to lose est aussi un groupe engagé (hardcore oblige), mais je le dis car ce n'est pas toujours la cas…et même si ils chantent en anglais (hardcore oblige), ils nous expliquent un peu la naissance et le sens des textes (très cool pour les non-bilingue !!). En bref, on retrouve les thèmes chers à la cause, l'état dirigeant, les religions imposées, l'underground style, le rejet des oppresseurs… mais là encore ils se distingues par une constatation plus qu'une revendication, un sentiment des choses avec du recul et non une haine sans discernement. To conclude : No Time To Lose ça vaut le détour car quand la zic déchire et que le message est bon, et que ça vient de chez nous… ça le fait grave !!!’’ HTTP://WWW.CHEZ.COM/HAMMERROCK/GENERALE.HTML 

" Si on se promène dans le hard core français, on trébuche sur l'album des No Time To Lose "Free edge core" 11 titres sortis par Lean On Me cette année, très inspirés d'une scène ricaine apparement oldeu skooleu, très au point dans les compos... Chant en anglais avec un livret bien foutu où les auteurs nous racontent le pourquoi et le comment de leurs textes entre terrorisme, labels soit disant indés, machisme (très bon Girls just want tu have GUNS) et pour finir une pensée pour Carlo Giuliani, un très bon album, quoi!!!" ROTTEN EGGS SMELL TERRIBLE n°7 (janvier 2003)

"  Alors c'est sorti par un label qui s'appelle disques de la classe moyenne et par un skinhead communiste, fallait le faire quand même. Bon je charrie, mais sinon y'a marqué "free edge hardcore" sur la couverture, alors au début j'avais un peu peur, parce que c'est un peu la mode en ce moment de se revendiquer de rien, mais en fait quelle claque! Et une appellation pas usurpée *! Du hard core vraiment énergique, en fait du punk hard core, vraiment varié (y'a un passage avec un violon, un avec une chanteuse...). C'est l'énergie et la rage qui manquent souvent cruellement qui sont ici super présents. Les paroles des chansons sont en anglais mais les textes explicatifs  sont en français et ça fait pas dans le compromis! La aussi c'est plus du punk que du hard core serai-je tenté de dire. Un des meilleurs disque de punk hard core que j'ai écouté." LA TERRIBLE VENDETTA DE STORM L'APATRIDE n°1 (janvier 2003)

" Ouh ben ça dégomme! Ce groupe de l'ouest de la frônce se permet un album de H.C. old-school tout à fait excellent! Ca va à toute bombe, avec une tonne d'énergie, des breaks réussis, et, surtout, des très bonnes paroles politiks et sociales. Réussi! Ca me fait un peu penser à nos Switchstance loceaux ou aux vieux trucs de Gorilla Biscuits / Y.O.T., avec un son de grattes qui ne vire jamais au crossover, ouf. Ca faisait longtemps qu'un disk 100% H.C. ne m'avait fait cet effet." MEANTIME n° 8 (novembre 2002)

« Premier album, chez Lean On Me, pour ce groupe qui nous vient du Mans. Onze titres bien hardcore, quelque part entre Minor Threat et Agnostic Front. Le son est à la hauteur pour une première production : guitares aggressives, voix énervée (en anglais bien sûr) et chœurs bien placés. Pas de doute, les lascars connaissent leur sujet . Côté textes, c’est assez engagé, ce qui n’est pas pour nous déplaire. Habituellement, le hardcore n’est pas notre tasse de thé, mais No Time To Lose vaut le détour. » BARRICATA n°9 (octobre 2002)

« Hardcore eastcoast tough guys style bien couillu (quoi de plus normal…), avec voix hargneuse, cavalcades et mosh-parts… J’avoue que je suis pas trop client, le côté injustices, aliénation, revendications et causes perdues, c’est pas vraiment mon trip… Exemple, le morceau « Girls just want to have guns », j’espère que c’est effectivement une fille qui l’a écrit, parce que moi j’ai aucune idée de ce qu’elles veulent, les filles… Enfin, musicalement, ça chie tout ce que ça peut et ça c’est cool… » FACTS FROM THE VAULT n°6 (novembre 2002)

 « Ce premier album des No Time To Lose « Join the party » sorti en coprod’ Lean On Me ! / Middle Clasee Prod. A été une grosse claque. Que de progrès depuis leurs deux démos déjà prometteuses mais auxquelles il manquait ce petit quelque chose qu’ils ont enfin trouvé, avec de surcroit une production cadrant parfaitement avec leur musique. 11 titres d’un hardcore pur et dure rappelant la première vague New Yorkaise (The Abused, Urban Waste, Antidote, The Mob, Cause For Alarm, Law And Order, Misguided…) avec un chant très proche de celui de Roger Miret sur le tout premier album d’Agnostic Front « Victim In Pain » et des textes concernés sortant des clichés habituels liés à ce genre de groupes. Un disque tout en efficacité allant droit à l’essentiel. Vivement recommandé ! » RAD PARTY n°29 (novembre 2002)

 « C'est donc après trois démos que le groupe sort son premier album. L'attente aura value le coup. Old school hardcore style. Très branché DIY, textes politisés, fait de société, on va dire dénonciateur et engagé pour simplifier les choses, donc pas de langues de bois. Les compos quand à elles sont rapides, dansantes, du old skool pure souche en fait avec des bons backings, du vrai hardcore si vous voyez ce que je veux dire. Un titre avec une femal vocal du tonnerre, trop rare les bons groupes de old skool, alors ceux avec une fille derrière le mic, quasi impossible à trouver. Quoi qu'on en dise, j'aimerai sincèrement entendre des groupes comme ça beaucoup plus souvent, certains pourrait en prendre de la graine. C'est une petite perle à pécho d'urgence. » (Review par Romu.) STAND UP n°2 (août 2002)

« Après quelques démos, No Time To Lose sort son premier album, quatre ans après sa création. Le ton est vite donné, dès les premières notes, on sait qu’on nage en plein hardcore old-school : tempos ultra-speed, vocaux gueulés, mosh parts qui tue et re-speed. Ca lorgne fortement du côté de NY City et de Sick Of It All sans jamais laisser une seconde de répit. Ce n’est pas vraiment le genre de zik qui me fait le plus grimper aux rideaux, mais faut avouer que c’est plutôt bien foutu et que le son est au rendez-vous. Certainement un bon compagnon de route pour les nantais de Right For Life… On notera tout de même un réel effort au niveau des textes qui dépassent largement la moyenne dans ce style de zik, bien trop souvent empêtrés dans les ridicules « friendship-unity » (ndf : je conchie sur l’unité !). Ici, les thèmes sont plutôt d’ordre politique et social, et même lorsqu’ils abordent les thèmes inhérents à la « scène punk », c’est avec une envie certaine de remettre tout ça en question. Bref, si vous aimez votre hardcore rentre-dedans et intelligent, No Time To Lose devrait vous combler de joie… » I TURNED INTO A MARTIAN n°3 (août 2002)

 « Si vous avez l'habitude de lire ce torchon, vous avez déjà entendu parler des No Time... Et bien depuis, les choses ont évolué, ils viennent d'enregistrer un cd 11 titres disponible chez lean on me ! Et quel cd mes aïeux, 11 titres qui vous déchirent la tête, du pur punk hardcore, je dirais même hardcore tout court. mais pas celui qui fait rigoler... non , là c'est du vrai , du pur ! ! Celui qui nous fait puer sous les bras lors de nos mémorables pogo, qui nous permet de chanter en choeur avec le groupe. Je suis impressionné par la qualité musicale du groupe car je trouve que depuis leur dernière démo, et bien on ressent du changement ! ! c'est devenu plus carré, plus dur.. ce qui ne change pas, ce sont leurs textes engagés et revendicatifs ! ! Textes que l'on trouve en Anglais et Français sur la feuille livrée avec... Les petits interludes aussi donnent un peu d'humour dans ce monde de brutes. Mon morceau préféré reste celui accouché dans la douleur « xxx (the letter on your fist) » qui me fait marrer et penser aux groupes hard rock des années 80... Bon les gars, faîtes pas les cons, allez pas vous faire pousser les cheveux, on vous aime comme vous êtes alors continuez à nous balancer des skeuds comme ça et tout ira bien ! ! » KANGOUROU ZINE n°15 (août 2002)

« No Time To Lose, eux, sont nettement plus hardcore dans leur vision du punk… et plus militants aussi. Ici, l’énergie prime sur le reste, c’est tout à l’arrache que No Time To Lose balancent leurs textes à la prise de conscience politique ou sociale évidente. On peut certes toujours s’interroger sur la potentialité d’une chanson à changer quoique ce soit, mais bon… No Time To Lose ont au moins le mérite de dire ce qu’ils ont sur le chœur. Que ce soit à propos de l’Afghanistan, de « la scène » punk, du terrorisme, de la mondialisation, s’ils n’évitent pas les clichés, ils les abordent de la manière la plus énergique qui soit, et de mon côté, ça me convient parfaitement. » 442ème RUE n°49 (octobre 2002)

« Après deux démos, et une réelle évolution, No Time To Lose sort son premier album, 11 titres de hardcore old school bourré de mélodies. On sent pas mal d'influences différentes sur les morceaux, ça va du hardcore mélodique dans le jeu de batterie et les guitares jusqu'au punk rock dans le chant ! Des petits clins d'oeil émo parfois, comme dans l'intro de « There's no one here »... On pourrait même pleurer quand arrive le violon sur la fin de Day of defeat ! Des textes intelligents, avec des explications dans l'insert s'il vous plaît, qui dénonce le machisme, la religion, un petit lay-out sympa. No Time To Lose est prêt pour signer sur Epitaph ! » (Pat) WALKED IN LINE n° ? ( ?)

« Après plusieurs démos K7 et CD-R diverses, les manceaux de No Time To Lose ont sorti il y a quelques temps déjà leur premier véritable album sur un petit label DIY : Middle Class Productions. Avec le peu de moyens qui sont en leur possession et l'acharnement dont ils ont fait preuve à travers les multiples dates données un peu partout en France, dans les salles petites ou grandes (dernièrement en première partie de Shelter et Good Clean Fun avec ValuexDriven à Paris), le quartet de No Time To Lose est le reflet de ses propres principes. Conserver un esprit DIY et avantager les rapports humains sur les rapports marchands d'une part (comme sur le morceau ''Come Over'' introduit par un extrait de « La Folie des Grandeurs » avec Michel Funès : ''il est l'or !?'') mais ne pas pour autant cautionner tout les comportements liés de près ou de loin à une scène hardcore souvent fourre-tout et bien loin hélas d'un idéal unitaire et tolérant : ''hardliners violents'', ''beaufs du pits'', ''sexistes''. Car Si No Time To Lose appartient à une scène undeground hardcore, leurs membres se refusent toutefois d'adhérer tel quel à un certain état d'esprit de pseudo-tolérance-revendicateur-hardcore (présent qu'on le veuille ou non), en gardant un certain recul vis à vis d'une certaine faune qui y prolifère. Après toutes ces remarques préliminaires, on en oublierait presque que No Time To Lose fait aussi de la musique et qu'ils la font bien. Officiant dans un style résolument old-school, à mi-chemin entre Right 4 Life et les premiers 59 Times the Pain pour le côté punk-hardcore. En plus de passages bien speedés, de grattes au son rock et très clair, et de rythmiques flirtant avec le punk, on retrouve aussi quelque éléments plus rares dans ce monde souvent gonflé de testostérones. Comme en témoigne « Girls (Just want to have guns) » où participe une voix féminine sur l'ensemble de la chanson, ou encore « Day of Defeat » qui insère un final tout en finesse au violon (chose que l'on ne retrouve à ma connaissance que chez Wage of Sin). En somme c'est un album très frais et mur d'un état d'esprit intelligent. Vincent
que l'on ne peut que soutenir. »
NO BRAIN NO HEADACHE n° ? ( ?)

« Haaaa my current favourite French band. I'm a bit jealous I didn't get to put this out. I loved the two tracks on the "french connection" compilation, they were great live, and this Cd does not disappoint, although I did prefer the production on the compilation. The sound on this Cd is good, but the production is slightly muffled. NO TIME TO LOSE play tight uptempo/ old school Hc with a positive edge and melodies. The lyrics are social but they also have a sense of humour. Check this out www.notimetolose.fr.st » (Y.B.)
www.punk-hardcore.fr.st

 

 

- Les Partisans "Le spectre dans encore" -

45 tours 2 titres coproduit avec Red Head Man

 dispo contre 3,8 Euros p.c.

 

 

‘’Le dernier disque des PARTISANS m’avait beaucoup plu et ce dernier single d’adieu restera un des meilleurs du groupe. Il est toujours dommage de voir un groupe s’arrêter à ce niveau-là. 2 titres seulement, et pas des plus rapides, avec des très belles mélodies, les textes toujours dans la même veine, parfois un peu trop imagés à mon goût, mais vous préféreriez peut être l’écriture des SALES MAJ ? ? ? On peut aussi s’arrêter sur le soin tout particulier apporté à l’artwork, c’est beau, et rare pour un groupe français. Avec les  PARTISANS, rien n’est laissé au hasard. Excellent à tout point de vue.’’ Arno NO GOVERNMENT n° 47 (avril 2003)

 ‘’Et voilà, c’est le der des der pour un des tout derniers vieux groupes lyonnais encore actif, une page se tourne, et la scène lyonnaise s’amenuise encore un peu plus. Bon, je dis ça, mais je n’ai jamais été grand fan de ce groupe, préférant de loin leur homonyme anglais (je veux parler du style). En effet, leur roots reggae cuivré ne m’a jamais emballé, aussi bien sur scène que sur disque et ce n’est donc pas avec ce EP testament que j’y ai trouvé mon compte. Sur les deux titres présents, seul ‘’Rien ne s’efface’’ passe à peu près, plus rythmé et moins monocorde que ‘’Aurore’’, elle tire son épingle du jeu avec des cuivres bien installés sur un tempo assez vif, et une ligne de basse qui se taille la part belle de la mélodie. Au niveau de la prod, rien à redire, un bel insert est livré avec l’objet, où l’on peut lire les paroles tout en matant les prolos lyonnais.’’ HUMAN DISASTER / DYNAMITE (mars 2003)

"Encore un 2 titres de nos amis Lyonnais, abonnés à ce genre de galette. Dommage qu'il n'y ait pas plus de titres (à chaque fois c'est la même!). Est-ce de la radinerie ou un manque de moyens? Enfin bon, ce n'est pas grave car le groupe a décidé d'arrêter là l'aventure. D'où ce titre très évocateur! Leurs rythmes rudeboy retentiront et reviendront éternellement dans nos têtes. Ces deux titres sont tout de même plus "noirs" qu'avant: moins dansant et moins gais. L'euphorie des premières années n'y est plus mais les paroles sont toujours aussi optimistes et porteuses d'espoirs. C'est un groupe qui aurait mérité plus de reconnaissance de la part du public. Ah! La vie est mal faite!!" QUE VIVE LE ROCK LIBRE!!! n°24 (janvier 2003)

"Un spectre hante la scène red européenne: le spectre des Partisans, magistral groupe rock / soul qui avait été le seul ici à reprendre le flambeau allumé par les Redskins et Camera Silens. Toute la pudeur des adieux qui ne s'éternisent pas : seulement 2 titres, mais ils sont de toute beauté: musique, textes, production, avec des passages saxo fins et recherchés. C'est difficile de croire que la route s'arrête là, alors gardons quand même les oreilles ouvertes." EARQUAKE n°80 (novembre 2002)

 

  

- About Some Precious Oldies "In the web of love" -

33 tours 10 titres - version vinyle du CD produit par Patate Records -

Coproduit avec Lo Panier et Red Head Man

dispo contre 10 Euros p.c.

 

 

   

- Orange Street "Letter to Mr. Brown / What a night version" -

45 tours 2 titres coproduit avec Red Head Man

dispo contre 3,8 Euros p.c.